Tirets et guillemets

Bonjour, mes chers,

Je me bats actuellement avec les tirets et les guillemets dans le dialogue écrit. Je crois que j’ai compris qu’avant, on utilisait les guillemets au début et à la fin d’un dialogue, puis les tirets dans le dialogue. Apparemment, on peut se passer des guillemets aujourd’hui. Jusque-là, c’est vrai ?

Mais qu’en est-il des pensées, notamment dans un long paragraphe ? J’ai trouvé les deux ici : La plupart du temps, les longs monologues intérieurs étaient séparés par des guillemets, tandis que les plus courts ne l’étaient pas. Est-ce qu’il y a des règles claires ou est-ce qu’on fait ça au feeling ?

Je serais ravie si quelqu’un ici pouvait m’aider.
Cordialement,
Norbert

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L’utilisation des traits d’union et des guillemets dans les dialogues et les pensées peut varier, mais il existe quelques règles générales :

Dialogue : Traditionnellement, les guillemets sont utilisés au début et à la fin des dialogues. Les traits d’union (ou tirets) peuvent indiquer des interruptions ou des pauses dans le discours.
Pratique moderne : Certains auteurs contemporains se passent de guillemets pour des raisons stylistiques, n’utilisant que des traits d’union ou rien du tout, bien que cela soit moins courant.
Réflexions intérieures : Les monologues intérieurs peuvent être indiqués par des italiques ou des guillemets. Les pensées courtes n’ont souvent pas besoin de guillemets, tandis que les monologues intérieurs plus longs en ont généralement besoin.
Il n’y a pas de règles strictes ; c’est souvent une question de style personnel et de cohérence.
Pour plus d’informations, visitez red sfr mon compte.

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